Logos e homologein em Heráclito: linguagem e dimensão de mistério do ser a partir da leitura de Martin Heidegger

Abstract

Cette recherche a comme objectif d’analyser l’interprétation d’Heidegger (1889-1976) du lo/goj d’Héraclite d’Éphèse (entre 540 – 470 av. J.-C.). Cette interprétation postule une relation inextricable entre lehumain etoriginaire. Dans son travail, Heidegger entend comme l’encouragement de l’expérience humaine élémentaire de la pensée. Ainsi Heidegger s’oppose a la tradition de la « logique traditionnelle » et de l’interprétation chrétienne (originaire de tendances de la métaphysique grecque) qui soulèvent comme « l’Étant suprême », la parole divine, le fils incarné de Dieu. Dans l’interprétation d’Heidegger des fragments d’Héraclite, le lo/goj n’est pas un « Étant suprême », et même pas un Étant, mais le propre rassemblement, collection (Versammlung) de tout qui est, de ce qui connecte tout qui est, en son union, « l’Être de l'Etant » (das Sein des Seienden). Lo/goj humain et lo/goj originaire s'appartiennent mutuellement. Cette « co-appartenance » (zusammengehören) a lieu dans o(mologei=n, la correspondance entre lo/goj humain et lo/goj. L’ o(mologei=n apparaît dans une modalité de présence qui se traduit a partir du jeu de l’essence de l’ a)lh/qeia avec l’essence de la vérité de l’Etre. A partir de la pénombre de ce jeu, l’articulation entre les termes , "pa/nton kexwrisme/non" et "gnw/me qei/a" permet de penser le « se-donner » duomme le « se-penser » (das Zu-denkende) et le « se-savoir » (das Zu-wissende), comme l’expérience du chemin de la préparation de la vérité de l’Etre à la pensée humaine dans l’ o(mologei=n. Cette expérience rapproche l’homme de l’instant de la pensée en ce qui concerne l’ouverture au mystère, ou autrement dit, de l’Être dans sa vérité : dans son refus ou sa rétraction. "Texto completo no pdf"